Habiliter les serveurs horeca à gérer le stress : un défi clé !
La gestion du stress chez les serveurs horeca n'est pas une mince affaire. Pour pouvoir servir efficacement les clients, il faut être rapide, précis, et toujours souriant, même dans l'adversité. Comment donc aider nos serveurs à mieux gérer ce stress ? C'est la grande question à laquelle nous tenterons de répondre à travers cet article. Et attention, ce n’est pas du tout cuit !
Définir le stress et ses effets sur les serveurs horeca
Le stress est une réaction physique et mentale à une demande ou un défi. Il peut être bénéfique pour un court instant, en nous aidant à rester alerte et prêt à relever de nouveaux défis. Cependant, le stress soutenu et continu - comme on peut en rencontrer fréquemment dans l'industrie horeca - peut être néfaste.
Stratégies de gestion du stress personnelles
Heureusement, il existe de nombreuses stratégies qui peuvent aider les serveurs horeca à gérer leur stress. Prenons l’exemple de la méditation, du yoga, ou même d'une marche rapide pendant une pause. Cela peut sembler banal, mais s’accorder un moment de décompression dans cette course effrénée peut faire toute la différence.
Rôle de la direction dans la gestion du stress
La direction aussi a un rôle à jouer dans la gestion du stress de leurs employés. Elle peut mettre en place des formations pour améliorer la gestion du temps et l'efficacité organisationnelle. Ainsi, ces formations peuvent aider les employés à prioriser les tâches les plus importantes et à éviter de se sentir débordés.
La compréhension et le soutien des clients
Enfin, les clients peuvent aussi jouer un rôle dans la gestion du stress des serveurs en étant compréhensifs et patients. Et n’oubliez pas que dans horeca, un sourire peut illuminer toute une journée de travail !
References :
- Hamilton, D. (2018). Stress : l'ennemi invisible des travailleurs du CHR. Journal de l'hôtellerie et de la restauration, pp. 24-27.
- Martinez, J. (2020). Comment aider vos serveurs à gérer le stress au travail. Guide du restaurateur, pp. 36-39.